C’est une médecine écologiqueparce qu’elle ne nuit pas à l'environnement "intérieur" du patient : pas de produits chimiques ni de produits de synthèses. Elle respecte l'intégrité biologique et renforce les possibilités d'auto entretien du patient. Elle ne se substitue jamais aux fonctions sur lesquelles elle agit mais les stimule afin qu'elles deviennent autonomes.
C'est une médecine scientifiqueparce qu'elle est conforme au corpus qui préside à la science traditionnelle multi-millénaire, laquelle se fonde sur l’analogie homme/univers : les lois qui président à la physiologie humaine sont les mêmes que celles qui gouvernent l’univers. L’homme est un microcosme à la ressemblance du macrocosme. Hippocrate est un des modèles occidentaux de cette vision des choses.
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C’est une médecine peu onéreuseMême si les consultations des praticiens sont d’un montant plus élevé que les tarifs courants des praticiens de médecine occidentale, les remèdes sont peu chers et ne sont pratiquement jamais pris à vie, sauf rares exceptions ; en outre, comme le plus souvent les traitements renforcent la vitalité des patients, ces derniers consultent moins sur le long terme.
C’est une médecine globaleparce que son action s’exerce aussi bien sur les dimensions psychique que corporelle de l’être humain.
Parce qu’elle sait établir le lien entre des secteurs physiologiques qui semblent différents à nos yeux, comme les fonctions respiratoires et les éliminations des selles, la circulation du sang et les fonctions de reproduction, les activités mentales et la digestion, les os et les fonctions urinaires, etc... |
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C’est une médecine à visage humainparce qu’elle s’intéresse davantage à la personne malade qu’à sa maladie : elle prend en compte le vécu du patient et ce qui se passe dans son coeur et dans son âme, et fait ainsi la relation avec les troubles qu’il présente.
Parce qu’elle comprend toute une sagesse qui débouche sur des règles d’hygiène de vie et de prévention des maladies qui, lorsqu’elles sont réellement appliquées, permettent d’entretenir au mieux la santé.
C’est une médecine authentiqueparce qu’elle plonge ses racines dans des millénaires de pratique, et jamais les principes qui lui servent de fondements n’ont été démentis ou modifiés. Tous les siècles qui se sont succédés n’ont fait qu’accréditer sa fiabilité et vérifier sa pertinence.
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C’est une médecine qui respecte l’hommeparce qu'elle l’incite à se prendre en charge en mettant l’accent sur ce qui, dans sa façon d’aborder la vie, peut lui servir ou peut lui nuire. Chaque cas est particulier et même si des maladies se ressemblent, elles ne sont pas provoquées par les mêmes facteurs, ni ne s’appliquent sur le même « terrain ». Le praticien cherche à aider son patient à se transformer afin qu’il ne retombe plus dans les mêmes travers qui lui ont causé du tort, que ce soit physiquement ou psychiquement.
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